Pour faire "voeu de tout bois", il faut un couteau, un littoral encore un peu sauvage et surtout de bons yeux, tant il est vrai que "c'est le regard qui crée l'objet (...) et que certaines pièces offrent à l'évidence, une version inattendue, inédite, du monde que nous habitons et que nous avons à nous approprier deux fois, conformément à notre nature double, physique et pensive".  (Pierre Bergougnioux)
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